Références et table des matières
VERMARD, Georges. Le Grand Œuvre universel. Omnia Veritas, 2018, 258 pages.
Le quatrième de couverture
L’intelligence veut, que lorsque nous nous trouvons devant une énigme il est logique d’envisager le problème en prenant en compte la totalité des options présentes. Ne pas en tirer raison est une sottise à moins qu’il ne s’agisse d’un choix profitable ce qui est une menterie. Notre rôle n’est pas de chercher à résoudre la complexité d’une situation dont l’historicité aurait la teneur des grands complots universels, nous aurions au contraire la convenance, si ce n’est le dédain de ne pas l’alléguer. Opposant à cela ce qui doit l’être, c’est-à-dire des preuves manifestes qui engagent le raisonnement dans une réalité autre, apte à procurer le sentiment d’une quête moyenâgeuse à la recherche d’une vérité perdue. Ce travail de recomposition nous a demandé un demi-siècle de recherche, de mise au point, de comparaisons et de déductions. Mais il nous a procuré l’immense agrément que distribue la vérité lorsqu’on éveille ses propriétés. Sous les oripeaux de l’histoire du monde se dissimule le corps parfait de l’authenticité, ses qualités sont telles, quelles remettes en cause certaine découverte de notre science expérimentale pour imposer une science universelle.
Résumé
Edition non acquise au 18/11/2023.
Sources mentionnées
Edition non acquise au 18/11/2023.